Dans l’univers du référencement, le Nofollow et le Dofollow sont deux termes souvent employés. Mais qu’est-ce exactement ? Si vous êtes débutant en référencement, c’est le moment pour faire le tour sur ces deux notions.
Définitions
Pour faire simple, le Nofollow et le Dofollow sont les attributs déterminant la relation entre deux pages web. Le Nofollow indique ainsi à Google de ne pas suivre les informations dans la balise <a href= »”http://www.referenceur-web.com/” » rel= »”nofollow” »>référencement</a>. Le Dofollow lui indique le contraire : les informations dans <a href= »”http://www.referenceur-web.com/” »>référencement</a> sont donc prises en compte par Google.
Qu’implique le Nofollow et le Dofollow ?
Les liens font partie des critères de classement de Google. Pour ses robots, les liens Dofollow ont plus d’importance que ceux en Nofollow. Pour améliorer leur positionnement, la majorité des gens recherchent des liens en Dofollow. Mais attention, ce n’est pas parce qu’un lien est en Dofollow qu’il est bon pour votre site. En effet, il faut que le lien vienne d’un site de qualité. De même, ce n’est parce qu’un lien est en Nofollow qu’il est sans intérêt. En effet, il permet de se faire connaître auprès des internautes.
Problématique des liens
Les liens pointant vers votre site doivent être vérifiés régulièrement pour éviter les pénalisations de Google. En effet, les liens Dofollow venant de sites de mauvaise qualité peuvent nuire au référencement de votre site. Ils doivent être désavoués pour éviter une négative SEO.
Pour une campagne de liens, il faut s’assurer que les liens ne soient pas tous en dofollow et qu’ils proviennent de sites et de pages différents. Si tous les liens sont en dofollow, le moteur de recherche Google risque de vous mettre sur sa liste noire et de vous infliger des sanctions.
Pour connaître si un lien est en Nofollow ou Dofollow, des plugins comme SEO quake existent. Pour avoir un suivi de tous ses liens, des outils comme web ceo, Webmaster Tools, Majestic Seo, etc. peuvent être utilisés.
